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Dénivelée = 440 m     Distance = 16 km

 Animateurs : Henriette et Hervé MONIER

 

 Effectif   = 19

 

 

C'est en bordure du chemin de la Pise que nous venons de garer nos véhicules.

 Nous filons en direction du lotissement neuf qui s' est créé à l' Ouest de Orsan.

 

 

 

  Au lieu dit de la République, nous montons un escalier aux nez de marche en bois.   

   Puis nous prenons à droite, le chemin forestier.  

 

 

 

    Nous suivons le balisage jaune qui nous fait grimper dans la montagne.

    Un belvédère a été aménagé sur le bord de la falaise.

 

 

 Le panorama s' étend de Bagnol-sur-Cèze (au fond à gauche) à Orsan (à droite).

 

 

 

 

     Nous abordons le plateau de Lacau.

    Parfois,  le sentier suit le bord de la falaise.

 

 

 

     Nous commençons à entrevoir la Combe d' Enfer.

     La végétation se fait plus abondante.

 

 

 

   La sente serpente agréablement entre les cistes cotonneux, les buis et autres   arbustes.

    Nous pénétrons dans un sous bois de chênes verts.

 

 

 

     Nous décidons de poser nos sacs près de la chapelle Saint-Pierre de Castres et d' y effectuer notre pause d' une heure.

     

 

 

 

     Nous repartons sur une aire très herbacée.

     Le sentier commence à descendre.

 

 

 Depuis le bord de la falaise, nous pouvons constater que plusieurs lopins de vignes ont été conquis sur la végétation naturelle qui semble prête à rependre ses droits.

 

 

 

 

     Le sentier très caillouteux poursuit sa descente.

Nous pouvons apercevoir le haut de la falaise où nous étions il y a peu de temps.

 

 

 

     Nous retrouvons un chemin forestier qui passe à côté d' une belle propriété.

         Au droit du parking du Camp de César, nous suivons un sentier qui reste         parallèle au chemin que nous venons de quitter.

 

 

 

     Nous contournons un vignoble en direction de la Combe de Roubaud.......

   ...puis nous suivons les traces jaune qui nous amènent à un sentier qui après    quelques centaines de mètres à l' horizontale, se met à s' élever fortement.

 

 

 

  Dans les cailloutis et marches aménagées, nous avançons lentement.   

    Sur le haut de la rampe, nous tombons face à des ruines.

 

 

 

     Ce sont les vestiges de la chapelle romane de Saint-Jean-de-Rouzigues.

        A quelques encablures du monument, nous avançons     jusqu' à la faille naturelle du Pas du Loup qui ne laisse     qu' un passage de 27 cm. à ceux qui veulent bien      l'emprunter.

 

 

 

Sur le plateau, nous rencontrons une statue représentant "Vestale", prêtresse  de la Rome Antique qui avait pour fonction de veiller sur le feu sacré.

     Nous suivons le balisage jaune.

 

 

 Nous voici enfin devant l' Oppidum de Laudun nommé "Camp de César" où César ne mit probablement jamais les pieds.

 

 

 

 

Notre première réaction est de nous abriter sous l' ombre bienfaitrice d' un chêne.

   Le Camp de César était une ville antique de 18 hectares dominant le couloir rhodanien ainsi que le confluent des vallées de la Cèze et de la Tave.

 

 

 

 

    En fait, l' origine de cet Oppidum est Celte (les Volques Arécomiques). C' était un camp fortifié utilisant un plateau naturel entouré de falaises sur trois côtés et fermé par une muraille sur le quatrième côté. 

     Vue sur la porte principale de la ville romaine avec son égout principal axial, les saignées verticales du dispositif de fermeture, le chasse-roues pour les charrettes et une portion de trottoir.

 

 

 

   La statue du Préfet de l' Annone trône devant la muraille défensive de 1,50 m. d' épaisseur qui était épaulée de tours circulaires dont une seule est encore visible.

   Nous quittons le Camp de César.

 

 

 

     La gent féminine semble attirée par la statue de Succelus, Dieu gaulois pastoral, protecteur des troupeaux et des récoltes mais aussi détenteur de la prospérité.

     Un nouveau belvédère a été aménagé.

 

 

 Nous pouvons contempler de gauche à droite, Orsan, Marcoule, la vallée du Rhône, Laudun et l' Ardoise.

 

 

 

 

     Nous abordons "avec souplesse", la descente.

     De nombreux cailloutis jonchent notre parcours.

 

 

 

   Nous descendons l' escalier utilisé en début de matinée.  

Il n' y a plus qu' à suivre le chemin en enrobé qui nous dirige vers nos véhicules.

                                                                                                                           

 

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