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         carte IGN  multi-couches

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Dénivelée = 600 m     Distance =15,9 km

 C' est au croisement des départementales D 31 et D 234, tout près du village de   Vidauque que nous démarrons notre randonnée.

  Sur le chemin large et bien aéré, nous profitons du soleil pour essayer de nous  réchauffer car il ne fait pas chaud.

   L' entrée de la Combe de Vidauque est marquée par une barrière ainsi que de panneaux d' interdictions pour véhicules à moteurs et engins volants.  

        En bord de Falaise, un caniveau maçonné semble protéger le chemin.

   Un gros arbre couché nous rappelle que dans ce site, la tempête peut sévir.

   Les falaises commencent à se rapprocher pour ne laisser q' un couloir étroit.  

     Un peu plus loin, de grandes masses rocheuses nous encerclent et nous sommes attirés par la pierre percée.

 A la base de ce grand trou bleu, un jardin arboré s' est créé.

     Alternativement, les parois verticales se rapprochent puis s' éloignent en laissant apparaître des pitons de calcaire blanc.

  Un petit mur de soutènement en pierres sèches, protège le sentier des éboulis.

     Pendant notre ascension, de magnifiques perspectives s' offrent à nous.

     Le terrain est très caillouteux.

     Nous pénétrons dans une forêt de Cèdres.

     Une clairière bien ensoleillée, nous permet d' effectuer une petite halte.

     Nous repartons sur la caillasse qui n' en finit pas.

 Après avoir traversé les Aires de Bédouin, nous aboutissons sur une petite route goudronnée, "en principe" interdite aux véhicules.

      De notre promontoire, nous pouvons voir couler la Durance et porter notre      regard jusqu' à l' Etang de Berre

     A notre gauche se profile le massif de la Sainte Victoire,.........

     ......tandis qu' à notre droite se dresse le plus haut massif des Alpilles.

     Sur le versant Sud bien abrité du vent, nous effectuons notre pause repas.

     Nous repartons en direction du sommet des Fourcats.

     Le plateau sommital est atteint.

    Nous prenons la direction de la crête située entre le vallon de Pességui et le   vallon de Poussiou.

     Le sentier serpente entre les massifs de buis.

     Entre deux parois verticales, nous apercevons le village de Robion.

     Dans le vallon de la Sapine, il faut parfois lever la jambe.

     La Bergerie du Colombier nous apparaît soudain à la sortie du bois.

         Après avoir visité les lieux, nous prenons la direction de la Combe du         Colombier

     Le sentier est descendant et clairsemé de rocailles.

     Les parois verticales des falaises sont éclairées par le soleil couchant.

       A la jonction des sentiers reliant la Combe de Vidauque à la Combe du Colombier, nous effectuons un regroupement, puis nous reprenons le chemin emprunté       dans la matinée.

    Nous commençons à avancer dans la pénombre.

Nous sommes heureux de retrouver nos véhicules sans vitres cassées et sans PV.

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