Jeudi 27 Juin 2012

 De Lignon à la Brèche du Dérochoir (74)

 

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De 1173 m. à 2174 m.

Dénivelée =  1000 m     Distance = 15 km

 

 

 Effectif du groupe = 26

 

 

 A notre arrivée, le parking du " Lignon", est presque complet.

 Nous démarrons sur le GR 5.

 

 

 

 Le sentier large et grimpant se rétrécit brusquement.

 Derrière nous, la "Grande Joux" rayonne entre les sapins.

 

 

 

 La première cascade que nous apercevons est celle de "La Sauffaz".

 Sa voisine un peu plus large, est appelée "La Pleureuse".

 

 

 Cependant, ces deux cascades qui coulent côte à côte ne proviennent pas de la même rivière.

 

 

 

 

 Après avoir dépassé le sentier qui conduit au lac de Vogealle, nous   poursuivons notre ascension sur le GR 96 variante.

 Nous longeons la rive droite du torrent de Sales.

 

 

 

 Quelques énormes blocs rocheux ont roulé jusqu' au fond de la vallée.

 Le sentier pénètre dans une végétation abondante.

 

 

 Avant de passer sur la rive gauche du torrent de Sales, quelques uns d' entre nous font la "pose souvenir".

 

 

 

 

 Au dessus de nos tête s' élèvent d' immenses parois verticales.

 Un "planet" nous permet de nous décontracter un peu.

 

 

 

 Mais les hostilités recommencent vite avec une rampe à 20%.

 

 

 

 Nous voici maintenant face à la cascade de Sales à moitié recouverte par l' ombre de la montagne.

 

 

 

 

 Le sentier s' élève sur le flanc Ouest de la montagne.

 

 

 

 

 A l' arrière la "Grande Joux" est toujours visible.

 Claude et les autres, avancent au pas de montagnard.

 

 

 Nous progressons jusqu' à une "cascatelle".

 

 

 

 

 Pour franchir la hauteur de la cascade, le sentier effectue plusieurs lacets.

 

 

 

 De notre position, nous pouvons admirer la vallée du Torrent de Sales qui resplendit sous le soleil.

 

 

 

 Nous nous trouvons soudain devant la cascade de Trainant dont les eaux proviennent de résurgences.

 

 

 

 

 Derrière la croix de bois nous espérons retrouver le plateau

 En effet sur un terrain plat, nous passons devant la petite chapelle de Sales.

 

 

 

        Devant le refuge de Sales, nous réquisitionnons les bancs et les        tables de pierres.

        Un petit coup de zoom, me permet de visionner la Brèche du        Dérochoir.

 

 

 

 Après avoir déjeuné, nous décidons d' avancer au delà des chalets de Sales.

 Nous pénétrons dans le "Grand Pré".

 

 

 

 De nombreux bouquetins sont à portée de zoom.

 

 

 

 Pendant un long moment nous avons pu suivre les évolutions d' un couple dont le mâle a finalement récupéré la place de la femelle.

 

 

 

 

            Au milieu du "Grand Pré" notre groupe se sépare, les uns            poursuivant leur route vers la Brèche du Dérochoir, les autres            faisant demi-tour.

 Au loin, un  chamois s' éloigne à toute allure.

 

 

 

 Nous quittons la zone plane pour aborder les premières pentes en direction de la Brèche du Dérochoir.

 

 

 

 

 Sur le versant Nord, la neige n' a pas totalement fondu. Nous grimpons avec prudence sur une couche blanche de vingt centimètres.

 

 

 

    Au miracle ! A peine avons nous dépassé la tête de la Brèche du Dérochoir, que nous nous trouvons face au massif du Mont-Blanc et de         l' Aiguille du Midi.

 

 

 

 

   Au fond de la vallée se trouvent les villages de Praz Coûtant, Passy,   Domancy.

 A notre droite un nuage s' est accroché à la pointe du Dérochoir

 

 

 

 Devant un tel événement, nous voulons prouver que nous y étions.

 

 

 

 Nous touchons presque de la main les 4810 mètres de ce sommet mythique.

 

 

 

 

           Après en avoir pris plein les yeux, la descente dans la           neige se transforme en un amusement. C' est probablement          dû à l' ivresse des montagnes.

 Nous voici enfin sur la terre ferme.

 

 

 

 La traversée du "Grand Pré" s' effectue à vitesse réduite.

 Un bouquetin qui s' est approché des vaches, nous suit du regard.

 

 

 

 Un autre bouquetin semble apprécier l' ombre.

 Une marmotte se dirige vers son trou.

 

 

 Une autre marmotte moins apeurée, broute au milieu des fleurs sauvages.

 

 

 

 

 Nous reprenons à l' envers, le GR 96.

 Un chamois nous démontre ses qualité de grimpeur.

 

 

 

 Des petits bouquetins semblent lécher la roche.

  Nous repassons devant la cascade du Trainant.

 

 

 

 Dans la descente, les efforts fournis dans la journée se font sentir.

  L' ombre commence à recouvrir la cascade de Sales.

 

 

 

 Dans une zone plane, le torrent de Sales s' est assagi.

     Les cascades de Sauffaz et de La Pleureuse continue à se déverser     inlassablement.

 

 

 

 Dans la dernière descente très caillouteuse, nous nous laissons aller jusqu' au parking du " Lignon".

 

 

 

                                                                                                                            

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