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Dénivelée = 540 m     Distance = 10,5 km

     Nous voila réunis afin de mettre au point le covoiturage.

     Une fois arrivés sur la parking de Prey d'Aval, nous rassemblons le matériel     nécessaire à cette journée raquettes.

     Après quelques centaines de mètres parcourus avec nos chaussures, nous    fixons nos raquettes aux pieds avec tous les réglages qui s' imposent.

     Nous atteignons la dernière maison de Prey d' Aval.

     Pauline, notre accompagnatrice, assure le train.

     Devant un chalet copié sur l' architecture allemande, Pauline nous explique     toutes les utilisations du Mélèze.

     Nous suivons une piste de ski de fond........

     ...........puis nous bifurquons sur un sentier bien damé.

      Après avoir rejoint le groupe de Philippe, deux nouvelles équipes  sont           constituées par les accompagnateurs..

     Nous repartons derrière Philippe.

 A notre droite se dresse la Tête de la Lauzière à 2397 mètres.

     Nous pénétrons dans une forêt de Mélèzes.

     La pente dépasse souvent les 10%.

     Nous ne sommes pas loins du col de la Pousterle.

     Une zone plane nous permet de récupérer.

     Le répit est de courte durée.

     Sur les hauteurs, les arbres sont de plus en plus clairsemés.

 Derrière Philippe, le groupe ressemble à une chenille à dix huit pattes.

     Nous contournons de gros rochers.

     Le sommet des Têtes à 2044 mètres d' altitude est proche.

 Nous profitons d' une zone rocheuse non revêtue de neige, pour poser nos sacs.

 Au Sud-Ouest nous retrouvons la Tête de la Lauzière.

Au Sud , nous faisons face au Bois Noir, à la vallée de la Durance et à la Crête de la Baume Noire.

 Au Nord-Est se profile le "Champ des Ans".

     C' est vers cette direction que nous repartons.

     Sans nous en apercevoir, nous passons à côté du lac de Lauze.

Cet arbre n' a pas pu survivre aux rigueurs de la Haute Montagne.

     Le terrain est maintenant descendant et les chutes plus nombreuses.

     Nous retrouvons un instant la piste de ski de fond.

       Une fois la forêt atteinte, le groupe d' échappés attend avec le sourire les        retardataires.

     Nous serpentons entre de gros blocs rocheux.

   Dans l' indifférence totale de certains, Marie-Odile et Jacquotte essaient de se   démêler les jambes et les raquettes.

 Quelques têtes rocheuses semblent vouloir s' échapper du manteau neigeux.

     Le plus dur est de vouloir rattraper celui qui vous précède.

           Nous marchons en bordure de la piste de ski de fond afin d' éviter les           dégradations.

     A travers le bois, la descente est amusante.

     Hervé s' est mis dans une position inconfortable.

       Sentant l' arrivée proche,   le groupe ne garde plus son homogénéité habituelle.   

     En bordure de route, les deux groupes se sont rejoints pour déchausser les raquettes.

     Raquettes à la main, nous rejoignons notre parking.

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Dénivelée = 484 m     Distance = 8 km

      Nous venons de garer nos véhicules dans le hameau "Les Roberts" situé à      environ 1 kilomètre au Nord-Ouest de Freissinières.

C' est raquettes à la main ou sur le dos, que nous démarrons notre randonnée.

     Le chemin forestier a perdu sa couche neigeuse.

     Au panneau directionnel nous chaussons nos raquettes.

     Il ne faut pas attendre bien longtemps pour voir le sentier s' élever à travers les frênes.

 Une petite pause permet  de contempler un panorama incomparable.

     Nous remontons en direction des Garcines.

 Tout en bas se situe Freissinières avec une large vallée qui après le retrait d' un glacier, devint un lac puis une terre alluvionnaire.

     Contre la façade du chalet, nous prenons un bain de soleil.

     A notre gauche se situe le Rocher de la Sea.

 A notre droite se dressent "Les Crêtes".

     Nous voici repartis vers les hauteurs.

     En terrain plat, tout va bien.

     Mais en descente, tout se complique pour certains.

     Nous marchons en direction du Col des Lauzes.

     Sur le plateau malgré la neige, nous effectuons notre pause repas face au versant "des Broues".

 Un magnifique coeur laisse s' échapper des coulées de neige jusqu' au pied de la montagne.

     Nous amorçons la descente.

     Seul un filet de neige nous permet de garder les raquettes.

     Philippe nous fait traverser le hameau des "Aujards".

     Nous passons dans une allée bordée de frênes.

Un tas de pierres signifie qu' autrefois les terres environnantes étaient cultivées.

     A cet endroit, nous enlevons nos raquettes.

     La descente sur le chemin forestier s' effectue à pied.

     Que fait Marie-Odile sous l' oeil attentif de Jacquotte ?

     Nous retrouvons nos véhicules au hameau "Les Roberts".

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