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Dénivelée = 430 m     Distance = 13,2 km

 Animateurs : Henriette et Hervé MONIER

 

 Effectif   = 37

 

 

     Nous voici au départ de la randonnée, sur le parking de la gendarmerie du     village de Gordes.

     Aussitôt, en bordure du parking, nous prenons une sente.

 

 

 

     Nous nous élevons entre de beaux murs en pierres sèches.

    Au croisement avec un chemin goudronné, nous levons une "peau".

 

 

 

 Le chemin se prolonge sur une route que nous suivons sur 500 mètres environ.

     Nous tournons à droite sur un chemin carrossable.

 

 

 

Puis nous tombons sur le GR6-GR97 qui se faufile entre les murs de pierres sèches.     

     

 

 

 

     Arrivés sur la D117, nous prenons son accotement gauche sur environ 250 mètres.

     

 

 

Nous surplombons la "Grande Combe".

 

 

 

 

     Un agréable petit sentier en corniche, nous descend vers l' Abbaye de Sénanque.

     

 

 

 Nous survolons des yeux le magnifique complexe religieux.

 

 

 

 

     Nous approchons des façades Est de l' Abbaye et apercevons un grand champ de lavandes.

     

 

 

 

L' Abbaye de Notre-Dame de Sénanque a été fondée sur le territoire de Gordes le 23 juin 1148 (9 de calendes de juillet), à l' initiative d' Alphant (ou Alsaur), évêque de Cavaillon, par des moines cisterciens venant de Mazan (ou Mansiade) dans l' Ardèche. Ceux-ci vinrent s' installer dans l' étroite vallée de la Sénancole qui faisait partie de l' apanage des seigneurs de Gordes. Au mois d' octobre 1150 l' un d' eux, Guiran de Simiane, la donne à Pierre, premier abbé. En 1544 lors des guerres de religion, le monastère est incendié par les vaudois et le bâtiment des convers détruit. L' abbaye fut un temps abandonnée. Une partie se visite comme le cloître ou encore la salle capitulaire. Une autre (l' aile la plus récente au nord) a servi de musée du "Sahara" à l' étage et boutique de souvenir en rez-de-jardin. Cette boutique est maintenant utilisée pour vendre des livres. Les moines cisterciens (issus de l'abbaye-mère de l'Île Saint-Honorat) revinrent en 1988. Actuellement, 6 moines y résident, ce qui fait de l' abbaye une dépendance de l' abbaye de Lérin.

 

 

 

 

 

    Après avoir traversé le parking, nous remontons vers la D177.

     Nous sortons de la départementale.

 

 

 

     Mais un panneau de "Battue en cours", nous oblige à reprendre le bas côté de la D177

     

 

 

 

     Nous arrivons au lieu dit "Les trois Thermes".

    Le coin est idéal pour notre pause repas.

 

 

 

     Nous repartons sur un sentier très caillouteux.

     Sur la roche dénudée, nous avançons face au soleil.

 

 

 

     Face à nous se dressent les roches du vallon de Ferrière.

     Le terrain grimpant semble légèrement se redresser.

 

 

 

     Nous traversons un champ d' herbes hautes.

     Nous retrouvons de magnifiques murs en pierres sèches.

 

 

 

     Une belle borie semble avoir été restaurée par son propriétaire.

     Nous avançons sur de l' enrobé.

 

 

 

     Nous pénétrons dans les extérieurs du villages de Gordes.

     

 

 

 

    Le château est presque atteint.

     Nous décidons de visiter le village et empruntons de superbes escaliers.

 

 

 

     Les "dessous" du village sont typiques.

     Le panorama s' étend jusqu' aux montagnes du Luberon.

 

 

 

     Nous remontons des escaliers d' époque.

     Nos trois "jeunettes" semblent plutôt en forme.

 

 

  A l' époque gallo-romaine, le village de Gordes constituait le principal oppidum de la Cité de Cavaillon dont le diocèse était l' un des plus anciens de la Gaule. Car le hasard historique a fait de Gordes, et ceci jusqu' à la révolution, une place frontière relevant, d' une manière assez particulière, d' un diocèse situé en pays étranger. Gordes a été un oppidum de la tribu des Vulgientes ou Vordenses qui ont donné leur nom à la bourgade primitive, par la transformation coutumière du V initial en G (Vordenses - Gordenses) à l' époque Gallo-Romaine. Classé un des plus beaux villages de France, Gordes a su se tailler une réputation mondiale dans le respect de son passé et de ses traditions.

 

 

 

 De notre promontoire, le paysage devient idyllique.

 

 

 

 

Du bord de la D15, nous pouvons beaucoup mieux apprécier la beauté du village.

     La randonnée se termine sur la place de la gendarmerie.

                                                                                                                                  

 

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