Altitude min. = 1455 m.     Altitude max. = 1841 m.

Dénivelée = 550 m     Distance = 14 km

 Accompagnateur en Montagne : Jean-Louis BIETRIX

 

 Effectif   = 16

 

 Notre départ se situe au Col du Fanget (Domaine de Seyne les Alpes) près du gîte. En nous élevant, la forêt domaniale de la Blanche nous offre un superbe panorama. Le terrain est dégagé et sans arbres. Partis de l' altitude 1465 m, Jean-Louis nous fait grimper jusqu' à un sommet 1841 m tout près de "La Confrérie" pour redescendre ensuite jusqu' à une bergerie en ruine, auprès de laquelle est allumé un feu de bois nous permettant de faire griller nos saucisses et faire fondre le "Mont-Dore", fromage traditionnel offert par notre accompagnateur. Le retour est moins difficile, puisque presque totalement en descente. Pour corser un peu le parcours, nous serpentons au travers d' un bois et descendons quelques petits talus très raides. Finalement chacun s' en sort pas trop mal et peu rejoindre tranquillement le point de départ, sans oublier le petit arrêt au gîte.

 

 

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Altitude min. = 1199 m.     Altitude max. = 1636 m.

Dénivelée = 460 m     Distance = 8,6 km

Accompagnateur en Montagne : Jean-Louis BIETRIX

Effectif   = 15

 

 Notre randonnée se situe au Nord/Ouest du village de Baujeu dans la réserve naturelle géologique de Haute Provence. Voilà nos véhicules engagés dans un chemin de terre de plus en plus couvert de glace jusqu' à ce que nous ne puissions plus avancer. Heureusement un planet couvert de neige nous permet de nous garer après plusieurs tentatives pour  l'atteindre. Depuis l' altitude 1199 m. tout près de la ferme Pioger, nous grimpons le chemin qui nous dirige vers la "Siserette" avec pour objectif "Les Cabanes de la Montagne" situées à 1636 m. d" altitude. Les 4 km nécessaires à cet objectif nous semblent interminables. Il est vrai que la pente moyenne avoisine les 12% avec des raidillons à 20%. Heureusement chacun d' entre nous arrive à atteindre la seule cabane qui tient encore debout et savourer un repos bien mérité. Comme à l' habitude, Jean-Louis allume un feu de bois sur lequel le Mont-Dore peut fondre lentement pour être dégusté par tous. Certains ont même fait réchauffer leur tranche de rôti de porc. En ce lieu, nous faisons face à la montagne contre laquelle le mardi 24 mars 2015, 149 victimes périrent suite au crash de l'A320 de Germawings. Jean-Louis nous montre la direction du vallon près du col Mariaud, où s' est écrasé l' avion allemand. Je suis persuadé que nous avons tous à cet instant, la gorge serrée.        Le retour étant descendant, nous nous sentons plus à l' aise. Mais nous ne pouvons éviter la traversée dans le bois et quelques talus vertigineux. La fin du retour étant beaucoup plus sur la terre que sur la neige, certains déchaussent les raquettes avec le risque de glisser sur quelques plaques de verglas. Nous rejoignons enfin nos véhicules satisfaits d' avoir passé deux journées sportives et conviviales.

 

 

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