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         carte IGN  multi-couches

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Dénivelée = 450 m     Distance = 13 km

   Sur le parking à proximité du Mas Jean le Maître, nous nous retrouvons pour   une fois, avec une majorité d' hommes (très rare pour être souligné).

     L 'enrobé a laissé place à un chemin de terre, que nous remontons.

     Nous sommes entourés par une végétation relativement haute.

Les collines de Plan de Cuques commencent à se percevoir sous un beau soleil.

     Nous pénétrons dans un cirque rocheux.

     Des pitons blanchâtres émergent de la végétation.

     Le sentier très rocailleux ne nous laisse que très peu de répit.

     A notre gauche, sont alignés les rochers des quatre santons.

   Notre imagination nous laisse entrevoir un randonneur avec son sac à dos.

     Certains croient voir une marmotte embrassant une tortue....?

     L' aperçu des gros rochers ne nous ralentit pas dans notre ascension.

        Derrière nous, se profilent à l' horizon, Bouc Bel Air, Gardanne et Aix en        Provence.

Nous passons à côté d' un singe à bosse et tout près d' un chien Beagle.     

    Le sentier s' élève dans la roche calcaire.

     A travers une ouverture en V, on peut entrevoir une partie de la métropole      Marseillaise.

 A cet endroit, la forêt a dû s' embraser pour ne laisser que des arbres calcinés.

     Sur la crête, un fort vent de Sud Est oblige Jacotte à maintenir sa casquette.

     Soeur Henriette, ne voyez vous rien venir..... ?

     Côté Nord, l' horizon est à perte de vue.

A l' Est, le rocher de Sainte Magdeleine se profile avec le Pilon du Roi (à l' extrême droite).

     Le sentier descend, puis remonte au travers des argelas, des chênes kermès et des buissons de romarin.

 Côté Ouest, les collines cachent Septème les Vallons.

     Hervé visite la grotte des Maquisards.

     Le groupe poursuit son avancée dans la garrigue.

     Nous cherchons maintenant un endroit propice à notre pause repas. Nous le trouvons bien à l' abri du vent de Sud Est.

Alors que nous sommes tranquillement assis, notre vue se voit offrir une palette de mille couleurs.    

     Repartis depuis peu, nous faisons face à la Grande Étoile.

     Une dalle bétonnée nous facilite la descente.

     Au " point de vue", le panorama sur Marseille est légèrement troublé par la brume.

     Nous tournons le dos à la deuxième ville de France, l' instant d' une photo.

     Nous descendons la route goudronnée nous éloignant de la Grande Étoile.

  Puis nous remontons dans la garrigue un sentier aléatoire, très peu fréquenté.

     Cela nous permet de jeter un oeil vers le lointain.

     La descente s' effectue sur une sente escarpée et très caillouteuse.

    Dans le vallon, nous stationnons près du puits de Lucques.

     Sur le large chemin forestier, chacun se laisse aller en toute décontraction.

     C' est par un chemin de terre que nous rejoignons nos véhicules, heureux d' avoir vécu une très belle randonnée jamais effectuée et très "ensoleillée".

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