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         carte IGN  multi-couches

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Dénivelée = 850 m     Distance = 12,7 km

  A l' ombre d' un grand chêne, nous voici regroupés à côté du parking sur lequel nous n' avons pas pu nous garer, ce qui nous a coûté 1 km de plus à pied.

     Nous avançons dans un sous-bois laissant pénétrer quelques rayons de soleil.

 Le sentier est large et peu pentu.

    Nous atteignons une zone de bosquets.

 A notre droite s' élève la face Nord de la Rhune.

     Tandis que la pente augmente légèrement, nous pénétrons dans les fougères.

Sous un soleil de plomb, notre objectif est d' atteindre ce sommet mythique que représente la Rhune.

 Autour de nous, la montagne est très vallonnée.

Jusque là, la pente est régulière et nous avançons sur une pelouse verte.

 Nous apercevons au loin la Baie de Lohia où nous nous trouvions dimanche dernier.

    Le sol devient soudain beaucoup plus rocailleux.

 L' objectif à atteindre est au dessus de nos têtes.

   En contre-bas se trouve la ligne de chemin de fer du petit train de la Rhune.

  Sur les pierres plates, nous avançons avec une attention toute particulière.

 Au fur et à mesure de la montée, le groupe s' éparpille en tous sens.

     Le petit train passe juste au dessus de notre sentier.

      Joseph semble se retourner pour ne pas voir ce qui lui reste à grimper.

   Pour nous rendre la tâche plus facile, nous longeons la voie ferrée.

    Nous voici enfin près de l' antenne rouge et blanche.

  En contre'bas se trouve la gare du petit train.

      Un magnifique restaurant est prêt à accueillir le flot de touristes.

 Le panorama vaut le coup d' oeil.

    Pendant que nous "cassons la croûte" assis sur les pierres du site, le petit train descent vers le col de Saint-Ignace.

Les "Pottoks", robustes poneys basques, déambulent en toute liberté.   

   Nous attaquons la descente sur un large chemin.

  Le virage est bétonné pour permettre à certains véhicule autorisés, d' atteindre le sommet.

Au Sud, il est difficile de distinguer le côté français du côté espagnol.

   Un bouc sauvage semble garder ses chèvres se trouvant à proximité.

  Un superbe vautour fauve vient nous survoler.

 Petit à petit, nous nous éloignons de la Rhune.  

 Les 14 rescapés entourent une borne frontière.

   Les Pottoks assez craintifs contournent notre groupe.

  Nous surplombons Urrugne, Ciboure, Socoa et Saint-Jean de Luz.

   On ne se lasse pas de contempler le paysage.

   Des brebis blotties dans l' ombre, sont visiblement dérangées.

  Nous traversons un champ de fougères.

Puis nous retrouvons le GR 10.   

Nous jetons un dernier regard sur la Rhune.

   Personne n' a pu résister à l' ombre des sapins.

  Nous repartons dans de hautes fougères.

   La pente s' affaiblit peu à peu.

  Sur les derniers 500 mètres du tronçon de route, nous rejoignons nos véhicules.

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