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Dénivelée = 540 m     Distance = 15 km

l' origine du mot "Opies"  selon une anecdote provençale, serait dûe à des "parisiens" (c' est à dire "ceux du Nord") qui voulant mettre un nom sur le sommet possédant une tour, en ont fait la demande à un provençal qui leur a répondu : ce sont les "Aupiho" (pour dire : ce sont les Alpilles). Les "parisiens" n' ayant pas pris la peine de demander l' orthographe, ont baptisé ce sommet inconnu, "Les Opies".

        C' est en bordure de la D 25A, sur le parking en terre des "Martelles", que      chacun ajuste ses affaires de randonnée.

 En prenant la direction Sud nous faisons face à un mamelon surmonté d' une tour de guet.

 Sur un large chemin très vallonné, nous traversons le "Pas de la Figuière".

     Après avoir traversé la D 25A, nous faisons face à la chaîne des Civadières.

  Une oliveraie vient frôler le bord de la colline.

Après avoir dépassé le pied du Mont Mazette, nous suivons le fond du vallon formé par le versant Sud de la chaîne des Civadières et le versant Nord de la Chaîne des Opies.

 La végétation très caractéristique des Alpilles, offre une palette de mille couleurs se mêlant à la blancheur de la roche calcaire.

        Jusqu' alors invisible, le plus haut sommet des Alpilles avec ses 498 mètres   d' altitude, se dresse en toile de fond.

          Nous arrivons au sommet du col alors que les nuages commencent à          disparaître et que le vent du Nord commence à forcir.

Le panorama en direction du Val de Lègue, ravit nos mirettes.

    Nous commençons à gravir le Mont des Opies, depuis sa face Ouest.

 Quelques marches verticales nécessitent l' usage des mains.

 La tour des Opies n' est plus très loin. Cette bâtisse est de forme carrée construite en pierres maçonnées, qui fut autrefois une tour de guet dont on peut voir encore les vestiges d' une ancienne ligne téléphonique.

  Mais quelques efforts sont encore à fournir avant de l' atteindre.

 Malgré le Mistral soufflant à plus de 100 km/h, les plus courageux du groupe posent avec le sourire. Les autres sont dans la tour.

Recherchant le versant abrité, Hervé effectue une petite boucle sur la face Sud de la montagne.

Mais en retrouvant le sentier emprunté à l' aller, nous entrons dans une énorme soufflerie qui se joue des cheveux de Jacotte.     

   A l' abri des bosquets nous posons nos sacs sous un soleil qui nous réchauffe à   peine.

    Nous descendons le vallon, à l' inverse de la matinée.

  Sur la partie basse, la végétation est beaucoup plus abondante.

      A la croisée des chemins, les retardataires sont attendus.

     Nous prenons la direction d' Aureille.

    La pluie tombée dans la nuit a laissé des traces.

   Le château en ruine d' Aureille est en vue.

  Nous passons à côté de la tour de l' horloge, propriété de la commune.

         Sur le sommet de la Fontaine, les branches d' un arbre semblent avoir         transpercé le béton.

  A la sortie du village, le beau clocher du village ainsi que la toiture de l' église, dominent les maisons basses.

   Au Roucas du Tassy nous remontons une petite route ...

...  qui devient rapidement un chemin rocailleux.

   Au loin on distingue à peine la tour des Opies.

  Le village d' Aureille dominé par son château de XIIème siècle, nous apparaît    entre deux arbres.

     Au droit de la "Font Paradis", nous reprenons le chemin très vallonné déjà       pratiqué dans la matinée.

  Nous devons souvent lutter contre les rafales du vent.

Nous passons à la clôture ouverte qui enferme parfois des taureaux sauvages.   

  Nous terminons notre randonnée légèrement enivrés par l' air ambiant.

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