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Dénivelée = 500 m Distance = 14,5 km

Animateur : Hervé MONIER

Effectif = 23

Sur le parking de Valloncourt à proximité de "La Canebière", chacun se prépare tout en causant.

Après avoir passé la barrière métallique, notre groupe prend la direction Nord qui nous fait longer une belle falaise de calcaire blanc.

Le soleil encore caché derrière la montagne, n'arrive pas à tempérer la fraîcheur du matin.

Nous franchissons une barrière en bois.

Une pointe rocheuse commence à s'illuminer généreusement.

Hervé nous fait suivre un sentier aléatoire grimpant

En haut de la côte, nous sortons de l' ombre.

Nous tombons sur un large chemin forestier.

La file plonge soudain dans un talweg.

Devant l' Abri de Cantian, nous effectuons un petit arrêt qui nous permet de visiter les lieux.

Tout de suite après avoir dépassé la bâtisse, nous grimpons sur la crête de la dorsale qui nous fait face.

Depuis notre promontoire, le panorama est superbe.

A gauche, se profile au loin la silhouette des Opies, le plus haut sommet de la chaîne des Alpilles avec ses 498 mètres d' altitude.

A droite, le vallon du sauvage nous cache presque les Alpilles d'Orgon et d 'Eygalières.

Quelques efforts sont encore nécessaires......

.......Avant d' arriver sur la route goudronnée.

La "Tête des Buisses" est en pleine ligne de mire.

Arrivés au fond du vallon, nous quittons la route goudronnée pour prendre sur notre droite, un beau chemin forestier.

Nous faisant face, une pointe rocheuse domine avec ses 364 mètres d' altitude.

Nous prenons à notre droite un sentier descendant.

Le refuge du Trou du Rat est enfin atteint.

Sans attendre, nous posons nos sacs sur l' herbe verte du terrain environnant.

Nous repartons après avoir dépassé l' heure de repos.

Hervé choisit la route goudronnée qui passe près du refuge.

En bordure de route, nous nous arrêtons devant l' entrée d' un sentier, balisée par deux cairns.

Passant entre les chênes kermès, le sentier reste parallèle à la route.

Puis nous retombons sur la route dont la terre battue a remplacé l' enrobé.

Le terrain est bien dégagé avec quelques pins d' Alep très clairsemés.

Nous nous rapprochons de la montagne.

Nous retrouvons la barrière en bois franchie dans la matinée.

Le pas s' allonge progressivement.

La falaise rocheuse qui ce matin était presque plongée dans le noir, est maintenant très lumineuse.

La dernière barrière métallique se franchit sans problème.

Nous retrouvons notre parking qui s' est fortement rempli.

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