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Dénivelée = 410 m Distance = 13 km |
Animateur : Jacques LUCAS
Effectif = 29
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Au bord du chemin de la Campanette juste avant la barrière, chacun s' affaire aux préparatifs d' avant rando. |
Nous partons sur une petite route goudronnée grimpante. |
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Le soleil levant nous éblouit quelque peu. |
Nous quittons la route pour suivre un sentier qui lui est parallèle, ou qui coupe ses nombreux lacets. |
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Nous sommes assez hauts pour pouvoir contempler la vallée de la Durance. |
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Tout en montant, nous traversons une zone de garrigue. |
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Puis nous atteignons une forêt de petits cèdres. |
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Au lieu-dit "le Trou du Rat", nous jetons un coup d' oeil discret au refuge. |
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Puis nous poursuivons notre ascension de la Forêt Domaniale du Luberon. |
Face à la "Tête des Buisses", nous bifurquons à droite sur un large chemin très caillouteux. |
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Nous avançons à l' horizontale sur le flanc Sud de la montagne. |
Avant d' atteindre le Vallon de Roque Rousse, nous plongeons sur un sentier peu carrossable. |
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Quelques marches naturelles sont à franchir. |
Une source aménagée coule lentement dans le vallon. |
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Nous passons devant les ruines de la Bastide de Pétrossi. |
Ce magnifique puits devait fournir l' eau nécessaire aux habitants. |
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Derrière le mur en pierres sèches de l' ancienne Bastide, nous trouvons un abri très ensoleillé qui nous incite à poser nos sacs pour la pause repas. |
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Après une heure de repos, notre groupe s' ébranle lentement pour repartir. |
Une fois échauffée, la machine avance à plein régime....! |
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Nous pénétrons dans le Vallon de la Peine. |
Nous traversons parfois des couloirs étroits. |
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Après avoir quitté le Vallon de la peine, nous tombons sur un large chemin de terre qui se termine quelques mètres après une barrière métallique. |
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Nous retrouvons maintenant la route empruntée dans la matinée. |
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A notre gauche, se dresse le sommet des Opies; |
Le plan d' eau d' une gravière nous apparaît derrière un arbre. |
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Nous descendons toujours la petite route goudronnée. |
Au loin, nous reconnaissons le clocher de Notre-Dame de Beauregard. |
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C' est presque "relâchés" que nous arrivons jusqu' à nos véhicules. |
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