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         carte IGN  multi-couches

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Dénivelée = 550 m     Distance = 15,7 km

                      C' est place de l' église d' Aureille que nos véhicules  sont garés.      Ce monument fut construit en 1867 par l' architecte d' Arles Auguste Véran.

 Après avoir traversé quelques ruelles du village, nous passons à côté du cimetière.

       En prenant la direction "plein Est", nous faisons face au       massif des Opies.

     Nous avançons sur le GR6.

     Nos regards vers le Mont Mazette sont éblouis par une palette de couleurs.

    En quittant le GR6, le sentier se retrécit et s' enfonce dans la végétation.

La face Nord du massif des Opies est dans l' ombre, mais l' on peut facilement distinguer la tour construite sur le plus haut sommet des Alpilles à 498 mètres d' altitude.

     Le sentier devient beaucoup plus grimpant.

     A l' arrière, se profile le vallon que nous venons de parcourir.

     A notre gauche s' élève la chaîne des Civadières.

     Nous entamons l' ascension de la face Nord du massif des Opies.

     Tels des oiseaux, nous survolons du regard les crêtes des Alpilles.

     Il faut parfois mettre les mains.

     Nous contournons le massif et arrivons sur la face Sud beaucoup plus ensoleillée.

    Après quelques efforts supplémentaires nous arrivons au sommet près de la Tour des Opies. Cette bâtisse est une tour carrée construite en pierres maçonnées qui fut autrefois une tour de guet dont on peut voir encore les vestiges d' une ancienne ligne téléphonique.

     Quelques curieux se sont mis devant l' entrée de la tour.

 Depuis notre promontoire, le panorama est merveilleux.

     Après avoir bien fait le tour de la situation, nous décidons de descendre par   où nous sommes arrivés.

     Chaque coin de paysage qui s' offre à nous, est un émerveillement.

     La descente est aussi technique que la montée.

     Avec d' infinies précautions, nous approchons petit à petit du vallon.

     Nous repartons maintenant en direction d' Aureille.

     A l' abri du vent, nous avançons sous un soleil généreux puis décidons de poser nos sacs à même la rocaille car il est déjà midi passé. Cela nous permet de discuter de l' origine du mot "Opies" qui selon une anecdote provençale, serait dûe à des "parisiens" (c' est à dire "ceux du Nord") qui voulant mettre un nom sur le sommet possédant une tour, en ont fait la demande à un provençal qui leur a répondu : ce sont les "Aupiho" (pour dire : ce sont les Alpilles). Les "parisiens" n' ayant pas pris la peine de demander l' orthographe, ont baptisé ce sommet inconnu, "Les Opies".

Nous voici maintenant sur un large chemin de terre assez vallonné, suite du GR6 emprunté dans la matinée et se dirigeant vers les "Balmes du Larron".   

 A notre droite la chaîne des Civadières se poursuit.

     En nous retournant dans la bonne direction, nous pouvons encore voir au loin, le sommet des Opies.

     Nous remontons maintenant le chemin forestier du Fenouil depuis lequel le paysage est toujours aussi beau.

     Hervé tient à nous faire grimper jusqu' à une tour de guet en construction.

     Après nous être bien imprégnés du paysage, nous faisons demi-tour.

     Le chemin est légèrement descendant. Joël a même repéré sa numérotation AL 227 (AL pour indiquer qu' il se trouve dans les Alpilles).

     Le clocher du village est déjà en vue.

  Depuis une ruelle, nous faisons face au château en ruine datant du XIIIe siècle et appartenant à une famille arlésienne.

     Nous passons à côté de l' ancienne église connue sous le     nom de "Tour de l' horloge" qui est une propriété de la     municipalité.

          Nous retrouvons nos véhicules Place de l' Église, et profitons de l' occasion pour faire le point sur la           randonnée que nous venons de réaliser.

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