Dimanche 29 Juin 2008

 La Calanque des Eaux Salées (13)

 Animateur : Pierre-Jean LATREILLE

 

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Dénivelée =   140 m     Distance = 8,5 km

 

 

 

 

 

 Sur le parking d' Ensuès-la-Redonne, un air de vacances semble flotter avant notre dernière randonnée du second trimestre.

        Nous atteignons le lotissement des  Besquens, au son des cigales        cachées dans les pins parasols

 

 

 

 Nous traversons la garrigue, déboisée probablement par de nombreux feux que seuls les chênes kermès ont su déjouer.

 Le chemin forestier aborde une pinède.

 

 

 

 La descente vers la mer s' effectue dans un sous-bois de pins d'Alep.

  La pente assez raide est jonchée d' aiguilles de pins et de pierres  glissantes.

 

 

 

 Nous débouchons sur la plage de galets de la calanque des Eaux Salées.

 Aussitôt, notre tenue de randonneur est remplacée par le maillot de bain.

 

 

 

 L' eau à 23° nous permet de recharger nos batteries.

 Les positions assises ou couchées sont vite adoptées.

 

 

 

 Quel bonheur que de suivre le mouvement des vagues, respirer à pleins poumons l' iode marine, sécher son corps au soleil !

   Sous la pinède bordant la plage nous décidons de "casser la croûte".    Les branches deviennent des porte-manteaux.

 

 

 

 

 Après l' ombre salutaire des arbres, certains tiennent à peaufiner leur bronzage sous un soleil de plomb..

                       Nous sommes tout près du viaduc de la ligne ferroviaire                       l' Estaque-Miramas, seul ouvrage qui n' ait qu' une arche.

 

 

 

 Toutes les bonnes choses ayant une fin, nous repartons par un escalier qui nous fait quelque peu souffler.

 Nous arrivons sur un chemin qui suit la voie ferrée.

 

 Du plateau, le panorama est merveilleux. La calanque et le viaduc des Eaux Salées deviennent à nos yeux, une oeuvre d' art.

 

 

 

 

 Nous prolongeons légèrement notre parcours pour atteindre la chapelle de Notre Dame du Rouet. En 1653, une riche famille (châtelains à Carry) fit construire cet édifice sur le plateau du Rouet. Il fut ensuite restauré en 1877 suite à une forte tempête dans la nuit de Noël 1821, puis reconstruit en 1966, suite aux dégradations de la guerre 39/45.

 Nous quittons le plateau par une saignée pratiquée dans la roche.

 

 

 

     En remontant le chemin forestier, nous laissons derrière nous, le     village du Rouet.

     Dans le vallon de l' Escayole, la forte chaleur n' a pas d' atteinte sur     notre bonne humeur.

 

 

 

 Après la barrière qui annonce que l' on est dans le parc régional marin de la Côte bleue, nous apercevons les premières maisons du lotissement des Besquens.

             L' âme vagabonde et le coeur léger, nous arrivons sur la route             d' Ensuès qui mène à notre parking. Vive les vacances et à            bientôt sur les chemins de randonnées, dès la rentrée de Septembre !                                    

 

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