Dimanche 18 Janvier 2009

 Les Opies (13)

Dénivelée =  350 m     Distance = 14 km

 Nous enfilons nos sacs sur le terre-plein juste à côté du cimetière du joli petit village d' Aureille.

     Nous nous orientons Nord-Est sur un chemin qui visiblement a été     élargi.

 Au loin la montagne des "Opies" se reconnaît facilement grâce à la vigie qui la coiffe.

 Nous profitons amplement de la largeur du chemin.

 Nous effleurons le pied du mont Mazette.

  Puis nous nous engageons dans le talweg en suivant un chemin qui se  rétrécit.

     Dans une végétation qui a bien repoussé après le feu, la neige du     7 Janvier semble ne pas vouloir disparaître.

   Derrière les branches calcinées de chêne verts , la vigie des "Opies"   se détache malgré le manque de soleil.

 Nous progressons pour atteindre le sommet du col.

 Face à nous, nous distinguons maintenant le Val de Lègue.

 La tentation est trop forte pour ne pas grimper jusqu'au sommet des "Opies", point culminant des Alpilles à 498 m. d' altitude.

   A l' Ouest, notre regard peut maintenant découvrir le sentier que nous   venons de parcourir.

 La rampe est plutôt raide.

 Il faut même utiliser les mains pour franchir quelques barres rocheuses.

 Tout prêt du sommet, le sentier serpente entre les jeunes pousses de chênes verts.

 Au Sud dans la plaine brumeuse, les serres renvoient des reflets clairs qui ressemblent à de la neige.

 Au sommet nous visitons la vigie et nous en faisons vite le tour avant de redescendre, car le vent de Sud-Est est plutôt "frisquet".

Pour le retour, nous reprenons le sentier "aller".

 Pour les passages délicats, chacun adopte son propre style.

  Notre file s' allonge jusqu' au bas de la pente.

 Nous entamons maintenant la descente dans le Val de Lègues.

 Sur le bord du chemin avant d' atteindre la plaine, nous effectuons la pose "de midi".

 Après le repas, certains ont du mal à s' accrocher au wagon de tête.

 Au loin nous reconnaissons la silhouette du château d' Eyguières que nous avions visité lors d' une précédente randonnée (voir).

 Abel nous entraîne sur un large chemin sans déclivité.

 Les nuages qui nous menacent depuis le début de la matinée, ne semblent pas vouloir gâcher notre journée.

 Le groupe s' arrête devant une ancienne bergerie très caractéristique.

 C' est l' occasion de prendre la photo demandée par tous (ou presque).

    Comme le cheval qui sent l' écurie, quelques "pouliches" ont dépassé    Abel qui garde son calme.

 Les taureaux nous suivent de leur regard noir.

 Le clocher du village est en vue et notre randonnée se termine dans la joie et la bonne humeur.

Retour au menu

 Rando précédente

Rando suivante