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Dénivelée = 390 m Distance = 15 km

Animateur : Jacques LUCAS

Effectif = 25

Nous voici sur le parking situé à côté des écoles de Montmirat en bordure de la D 6110.

Après avoir pris la direction Est, nous quittons les dernières maison du village et arrivons sur une zone très caillouteuse ressemblant à un ancien lit de rivière.

Nous bifurquons à droite dans le bois de la Pignède, sur un sentier grimpant.

Mireille atteint le col du Plan des Masques.

La descente qui suit, s' effectue à même le rocher.

Au fond du vallon, nous traversons le Valat des Grazilles.

Le sentier se poursuit dans la garrigue.

Cachée derrière un bois de chênes verts, la carrière romaine du Roquet se présente à nous comme une surprise.

Cette carrière fait partie d' une quinzaine de carrières antiques exploitées depuis l' époque helléniste.

Nous profitons des sièges providentiels taillés dans la roche pour effectuer notre pause repas.

Nous voici repartis sur la Combe des chèvres.

Le chemin forestier traverse le Bois des Lens.

A proximité de notre passage, une petite cavité taillée dans le rocher nous intrigue et nous attire.

Sous un soleil généreux, nous poursuivons notre avancée.

Grace à notre carte IGN et à notre GPS, nous atteignons les Grottes de Macassargues qu' aucun panneau ne signale. Ce sont 3 grottes successives reliées entr'elles et situées en sous-sol. Pour y pénétrer nous sortons nos lampes.

Camille Hugues et Saturnin Garimond découvrirent une prémolaire et deux fragments osseux datés de - 70 000 ans trouvés à l' entrée de la grotte la plus occidentale. On peut dire que ces fossiles appartinrent à l' homme de Néandertal. Des silex taillés furent également trouvés dans les trois grottes..

Un large chemin nous fait maintenant contourner le Bois de Coignies.

Un petit étang se trouve en bordure de notre parcours.

Certains sont intéressés par le plan d' eau, d' autres moins.

Les genets commencent à fleurir.

Nous quittons le chemin pour traverser une zone très verdoyante.

A quelques encablures se dressent les ruines de l' église de l'abbaye dite "clunisienne de Jouffre" qui dateraient du 3ème siècle alors que l' ordre clunisien n'a existé qu'entre le Xème et le XVIIIème siècle. Certains historiens seront probablement expliquer cette ambiguïté.