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Vendredi 25 Juin 2010 Vers la Colette de Gilly (05) |
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Un Clic pour arrêter ou redémarrer la Musique |
Animateur : Claude DORDRON
Dénivelée = 810 m Distance = 12 km |
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C' est la première fois qu' une randonnée démarre devant notre gîte. |
Comme d' habitude, le sentier s' élève dur dès le départ. C' est tout de même le GR 58 ! |
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Nous survolons déjà les toitures ainsi que le torrent de Bouchet. |
Le village d' Abriès va bientôt disparaître. |
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Le torrent de La Combe est franchi sans difficultés. |
Les arbres laissent quelques jolis coins de prairie. |
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Notre sentier débouche sur un chemin forestier, ce qui crée un attroupement. |
Après avoir suivi sur quelques centaines de mètres le chemin forestier, Claude bifurque à droite pour grimper une sente qui s' enfonce dans le bois de la Brune. |
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Au loin nous distinguons le petit village du Roux. |
Le sentier s' est un peu élargie à l' approche du bois Noir. |
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Pour "plus de prudence", Claude et René ont tendu une corde afin que nous puissions franchir ce passage délicat au de dessus du torrent des Estachons. |
A travers les branchages un grand pic se couvre de nuages. |
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Après la cascade de la Pisse, on nous propose le col d' urine. C'est tout un programme "prostatique". |
De toute façon nous prenons la direction de Colette de Gilly. |
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La montée vers le col suit un petit cours d' eau. |
Puis traverse une prairie immaculée de fleurs blanches. |
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Les derniers mètres sont assez difficiles. |
A l' abri du vent plutôt frisquet, nous reprenons nos esprits et satisfaisons nos estomacs presque vides. |
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Il nous suffit de quelques mètres pour franchir la Colette de Gilly et plonger nos regards sur la vallée du Guil. |
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Nous abordons la descente d' un pas soutenu car il ne fait pas bien chaud. |
Nous sommes entourés de sommets enneigés. |
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Le panorama nous ravit. |
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Une route verte semble se frayer une place dans la forêt de Mélèzes. |
Nous passons devant les trois Croix de bois. |
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Puis nous retraversons le torrent de La Combe. |
Nous prenons à l' envers, le parcours pris en début de matinée. |
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Nous nous resserrons en ayant en tête que nous sommes entrain de terminer là, notre séjour. |
Jusqu' au bout, de magnifiques fleurs auront accompagné notre parcours. |
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Nous vivons nos derniers instants de randonnées dans le Queyras. Tout semble s' être passé trop vite. Heureusement que quelques courbatures sont là pour nous rappeler qu' il est peut-être temps d' arrêter et si cela est nécessaire, de revivre tout en image. |
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