Le 5 Juin 2006

 De Sainte Agnès à la pointe de Siricocca (06)

 

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Animateur : Jacques LUCAS

 

Dénivelée = 600 m       Distance = 13 km

 

 

 

 

 

 Nous arrivons avec nos véhicules devant la petite chapelle Saint Sébastien de Sainte-Agnès, à 600 mètres d'altitude.

 Dès le départ, une borne nous indique la direction du col de Verroux et de la Pointe de Siricocca.

 

 

 

 Sur le sentier de Peyre Grosse chacun semble se préparer à affronter à la fois la montée et le temps menaçant.

 Nous prenons progressivement de l'altitude tout en tournant autour de la pointe de Siricocca.

 

 

 

 Une large voie militaire empierrée nous conduit très aisément malgré la pente "raide", au col de Verroux (935 m).

 Au sommet du col de Verroux nous sommes accueillis par un troupeau de chevaux magnifiques.

 

 

 

 Malgré la brume et les nuages bas, on découvre au loin, la Côte et la Baie de Menton.

 En grimpant en aller-retour vers la pointe de Siricocca, nous pouvons jeter un regard sur les cimes avoisinantes (Baudon, mont Ours, Grand Mont, Roc d'Orméa) ainsi que sur les lacets que nous venons de parcourir.

 

 

 

 Nous voici arrivés au fort de la pointe de Siricocca, tour de gué idéale dirigée aussi bien vers le front de mer que vers l'intérieur des terres et transformée aujourd'hui en bergerie.

   Notre casse-croûte fut froid et bref, le vent et la pluie venant   légèrement perturber notre bon aloi. Pour repartir, il fallut même   enfiler les capes !

 

 

 

 En redescendant vers le ravin de Merthéa, la mer, la ville, les viaducs autoroutiers et la Montagne, se mélangent à notre grand ravissement.

 Un joli petit pont franchit la prise d'eau de Sainte Agnès, occasion rêvée pour faire la photo souvenir du groupe (le photographe en moins)

 

 

 

 Nous voici de retour à Peyre Grosse.

 Au détour du chemin, Sainte Agnès, le village littoral le plus haut d'Europe (700 m) nous apparait dans toute sa splendeur

 

 

 

 En haut à gauche on distingue les vestiges du château du XIIème. L'entrée des galeries et le fort militaire (1938) ultime maillon de la ligne Maginot, sont à peine visibles.

 Ouf... ! Françoise franchit avec difficulté les derniers mètres de montée et René semble prier Sainte Agnès.

 

 

 

 Repos bien mérité sur un banc de Sainte Agnès.

 La traversée du village se fait par des "calades" au calcaire patiné longées par des façades d'époque ( XVe - XIIe)

 

 

 

     A l'extrèmité Sud du village se dressent les dernières fortifications en béton armé, de la ligne Maginot.

     De la terrasse aménagée, s'offre le panorama le plus saisissant du pays Mentonnais.

 

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