Vendredi 1er Mai 2009

 Les Falaises de Vidauque (84)

Animateur : René Barbieri

 

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Dénivelée =  670 m     Distance = 19,2 km

 

 

 

 

 

 C' est au croisement des départementales D 31 et D 234, tout prêt du village de Vidauque que nous démarrons notre randonnée.

 Nous pénétrons dans un bois de pins d' alep et de cèdres, tout en suivant René qui semble vouloir se cacher les mains.

 

 

 

 La traversée d' une clairière, permet de nous réchauffer grâce aux rayons d' un soleil généreux.

 Au travers des branchages, un oeil dans la falaise apparaît au loin.

 

 

 

 Nous amorçons la montée sur un sentier très caillouteux et dans un sous bois ombragé.

 Parfois quelques pitons rocheux émergent de la végétation sous un soleil bleu azur.

 

 

 

 Nous voici arrivés devant  la bergerie de Robion, après avoir franchi le vallon du Colombier.

 Nous poursuivons notre avancée dans le vallon de la Sapine.

 

 

 

 A notre gauche plein Nord, nous distinguons au loin le Mont Ventoux, qui semble avoir perdu son manteau neigeux.

 Tout en se rétrécissant, le chemin se fait beaucoup plus pentu.

 

 

 

 Notre ascension nous permet d' arriver au sommet des Fourcats.

 

 

 

 

 

 Sur le plateau sommital, nous serpentons entre les touffes de buis.

 Malgré l' aridité des lieux, une branche fleurie nous rappelle que nous sommes au printemps.

 

 

 

 Nous filons plein Sud sur le chemin forestier.

 Au croisement avec la route des crêtes, nous obliquons à droite.

 

 

 

        Sur le versant Sud de la route des crêtes, nous nous mettons à l' abri         d' un léger Mistral qui pourrait nous gêner car il est temps de se         restaurer à l' approche de 13 heures (n' est ce pas René ?).

 Après une bonne heure de repos, nous reprenons le bitume en observant au loin la montagne des Opies.

 

 

 

 A notre gauche plein Sud, se dessine la silhouette de la Sainte Victoire.

  Nous surplombons la vallée de la Durance.

 

 

 

 La marche sur le goudron devenant pénible, René nous fait prendre un sentier traversant les aires de Bédoin et rejoignant la Combe de Vidauque.

 

 

 

 

 Le sentier étroit traverse une végétation luxuriante.

 

 

 

 

 Quelques trouées dans la végétation laissent apparaître la blancheur du calcaire urgonien.

 

 

 

 

 La roche semble avoir été percée par une flèche divine.

 Entre les parois verticales le couloir est assez large.

 

 

 

 La roche percée que nous avons entrevue ce matin en passant de l' autre côté de la falaise, se distingue maintenant beaucoup mieux.

 Des trainées rougeâtres se dessinent sur un téton rocheux.

 

 

 

    Sur notre chemin, nous croisons trois randonneurs qui nous indiquent    qu' une caverne ne se trouve qu' à quelques encablures. Merci les amis !

  La palette de couleurs nous offre un spectacle unique et merveilleux.

 

 

 

 Nous jetons un dernier coup d' oeil sur ce tableau enchanteur.

               Nous sortons de la forêt et nos véhicules sont déjà en vue.                     A bientôt pour une prochaine ballade !

 

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